Erika : keine
eigenen Erfahrungen, aber mit dem "Voyeur/Der Augenzeuge"
Jan. 1957 für mich erste Bewährungsprobe
als aufmerksame Zuhörerin: das Original vor Augen, die Übersetzung im Ohr. Auskunft
über die Arbeit an den Autoren des Nouveau Roman geben Manuskripte, annotierte
Bücher, Karteikästen mit Hunderten von Aufzeichnungen u.a.m. Ich selbst kann
nur Anekdotisches aus der Erinnerung berichten.
Bei dem zweiten
Roman "La Jalousie" Titelproblem. Im Deutschen missverständlich,
daher "die Jalousie oder die Eifersucht." Ein anderer aufmerksamer
Zuhörer, damals Student in Paris, zeichnete das Haus in der Bananenplantage
nach u. stellte fest, dass bei der haargenauen Beschreibung Robbe-Grillets eine
Tür fehlte.
Erika : pas d’expérience propre de la traduction proprement dite. Mais pour ce qui concerne Le voyeur, en janvier 1957, j’ai été mise à l’épreuve comme auditrice attentive : l’original sous les yeux, écoutant la traduction qui m’était lue. Pour ce qui concerne le travail effectué avec les auteurs du Nouveau roman, les manuscrits, les ouvrages annotés et les fichiers constitués de centaines de trouvailles fournissent de nombreux enseignements. Pour ce qui me concerne, je ne peux que contribuer à tout ce corpus par quelques anecdotes.
Par exemple, lorsqu’Elmar a traduisit le second roman,; „La
jalousie“, le titre posa problème. En allemand, il prête à confusion, ou bien
il est en fait trop univoque. D’où « Die Jalousie oder die Eifersucht. » Un
autre auditeur attentif, à l’époque étudiant à Paris, se prit à dessiner la
maison du planteur conformément aux indications du roman, et il en vint à
constater que dans toute ses descriptions parcimonieuses, Robbe-Grillet avait
oublié une porte.
Hidden yet.
Anfang der Sechzigerjahre Walter Höllerers Einladung nach Berlin . Top fungiert als Dolmetscher., verunsichert durch Robbe-Grillets Ankündigung: "J'aime improviser". Bei dem Wort Parallélélipède versagte er (Streichholzschachtel).
Der Titel des
dritten Romans "Dans le
labyrinthe" konnte im Deutschen nicht übernommen werden, da er nicht frei
war. Daher "Die Niederlage von Reichenfels" , Titel des fiktiven
Gemäldes im Buch. ... ?)
Folgte darauf
"Die blaue Villa in Hongkong"? Jedenfalls Terminnot. Der Verlag drängte. Helmut
Scheffel sprang ein und übersetzte auch die folgenden Romane, glaube ich. Immer
schmerzlich, einen Autor "abzugeben". Jahre später lief es umgekehrt:
1982 übernahm Elmar die Übersetzung von
"Djinn" , Grundlage für seine Seminare als "Poet in residence"
an der Universität Essen. Ausführlich dokumentiert.
Au début des
années soixante, il y a eu l’invitation à Berlin par Walter Höllerer. Top
fait l’interprète, pas rassuré par l’annonce de Robbe-Grillet selon laquelle il
« aime improviser ». Coincé par le terme parallélépipède que les Français
apprennent tous en classe de 7e, en trébuchant sur la quatrième syllabe. C’est
vrai que c’est moins chic que « boîte d’allumettes », ça forge plus à
l’abstraction.(JT)
Le titre du troisième roman „Dans le labyrinthe“ n’a pas été
repris comme tel. Il était tout simplement pris (après l’histoire du Voyeur,
c’était bien fait (JT). Donc l’éditeur a choisi comme titre « La défaire de
Reichenfells », qui est le titre d’un tableau fictif dans le roman.
Puis ce fut sans doute « La villa bleue à Hong Kong » (La
maison de rendez-vous) (titre allemand moins salace (JT)). Manque de temps.
Helmut Scheffel a pris le relai et il a également traduit les romans suivants,
me semble-t-il. Cela fait toujours de la peine de « céder » un auteur. Mais des
années plus tard, c’est Elmar qui se chargea avec une certaine jubilation de la
traduction de « Djinn ». La traduction lui servit de terreau pour ses
séminaires comme poète en résidence à l’université de Essen dans la Ruhr, En
conséquence, son travail est abondamment documenté.
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